Faux Q est juste né d’une envie, envie de créer de s’amuser, envie d’être différent (si c’est encore possible).
Un mot de la mode détourné pour un projet un poil dadaïste avec un clin d’œil surréaliste.
Faux Q ne s’oblige pas à être consensuel et caresse même l’envie du politiquement incorrect.
Parfois sérieux, il se veut délibérément optimiste et joyeux.
Faux Q est une revue annuelle dont Antigone Schilling est la directrice de la rédaction et Dimitri Maj le directeur de création.
Dans cette aventure : Arcadius, Isabelle Bonjean, Elie Gordon, Estelle Haladjian et Réjane Lacoste.
Autour d’eux, des contributeurs de l’écrit ou de l’image, (re)connus ou émergents.
Des invités exceptionnels, artistes, architectes, créateurs, écrivains, scientifiques, cuisiniers,…
Chaque numéro est thématique.
Clin d’œil décliné en jeux linguistiques, le mot choisi passe à la moulinette dadaïste.
Cadavre exquis où le texte se découvre en décalage avec son « image ».
Parmi les classiques :
– Les doubles jeux : des face-à-face en images.
– Les non contributeurs : ceux qui ne « figurent » pas dans le magazine.
– Le dictionnaire farfelu.
– Des célébrités d’une page choisis pour la qualité de leurs prénoms : Genoux de Claire, Au bain Marie, Louis dort…
– La présence systématique de Jean-Marc Barr dans chaque numéro (Ivre rouge, Cheik en blanc, Goldfinger..), notre Hitchcock porte-bonheur.
Sans oublier les cartes blanches et les productions spécifiques.
Annuel culturel thématique, Faux Q est tiré à 10 000 exemplaires (format 267 x 347 mm, 172 pages) et vendu pour un prix palindromique de 10,01 €.
Distribué en kiosques par MLP (près de 600 points de vente en France), Faux Q est également présent dans un réseau ciblé de librairies : Palais de Tokyo, Librairie du Centre Pompidou, WH Smith, Artcurial, Les Mots à la bouche, Artazart, Le Bon Marché, etc. Et sur le site de KD-Presse.
Faux Q est réalisé par l’association loi 1901 du même nom et tous les participants à l’aventure sont bénévoles.